Bonjour à tous 5. a) Quelle est l'attitude du père tout au long du texte ? Décrivez-la en justifiant votre réponse par le relevé d'éléments du texte. b) Quel ch
Question
5. a) Quelle est l'attitude du père tout au long du texte ? Décrivez-la en justifiant votre
réponse par le relevé d'éléments du texte.
b) Quel changement apparait dans l'attitude du père à la fin du texte ? Justifiez votre
réponse.
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6. Deux troupes de théâtre ont mis en scène Grand-peur et misère du lll® Reich. Pour
annoncer les représentations, elles ont choisi des affiches différentes. (B:Images)
a) Que représente la première affiche ? Que représente la seconde ? Quel aspect de la
pièce chacune met-elle en avant ?
b) Selon vous, quelle est celle qui convient le mieux pour illustrer l'extrait de la pièce
que vous venez d'étudier ? Vous justifierez votre réponse en mettant en relation l'image
et le texte.
Grammaire et compétences linguistiques
7. «Mais où est-il ? »
« Comment le saurais-je ? »
« Pourquoi ne serait-il pas sorti? »
différentes phrases interrogatives.
a) Observez les exemples ci-dessus et dites quels sont les points communs entre ces
b) Voici une autre phrase interrogative : « Est-ce que le local des Jeunesses
hitleriennes est ouvert le dimanche après-midi ? » (Ligne 40-41)
Quelle différence remarquez-vous entre la construction de cette phrase interrogative et
la construction des phrases précédentes?
c) «Tu l'as vu sortir ? » (Ligne 6). De quelle autre manière peut-on exprimer cette
interrogation ?
8. Dans le passage ci-dessous, remplacez le sujet a ll » par « Ils » et faites toutes les
transformations nécessaires.
Votre texte commencera par « Et alors ! Et s'ils se mettent ...>
La Mère-Et alors ! Et s'il se met à le raconter autour de lui ? C'est curieux qu'il
soit sorti aussi discrètement.
Le Pere - Absurde
La Mere - Tu n'as pas vu à quel moment il est parti?
Le Père - Il est resté un bon moment, le nez collé à la fenêtre. » (Lignes 20 a 25)
. Texte littéraire
La scène se passe à Cologne, en 1935, dans une famille allemande, sous le régime nazi.
La Mère – Nous ne devrions pas nous disputer tout le temps, Charles. Autrefois …
Le Père – J’attendais ça. Autrefois ! Ni autrefois, ni aujourd’hui, je n’ai envie qu’on
empoisonne l’esprit de mon enfant.
La Mère – Mais où est-il ?
5 Le Père – Comment le saurais-je ?
La Mère – Tu l’as vu sortir ?
Le Père – Non.
La Mère – Je ne vois pas où il a pu aller. (Elle appelle) Henri ! (Elle sort en courant ; on
l’entend appeler ; elle revient.) Il est vraiment sorti ?
10 Le Père – Pourquoi ne serait-il pas sorti ?
La Mère – Mais il pleut à torrents !
Le Père – Pourquoi s’énerver comme ça parce que le petit est sorti ?
La Mère – Qu’est-ce que nous avons dit ?
Le Père – Quel rapport ?
15 La Mère – Tu es si peu maître de toi, ces derniers temps.
Le Père – Je suis parfaitement maître de moi ces derniers temps, mais quand bien même
je ne serais pas maître de moi, quel rapport avec le fait que le petit soit sorti ?
La Mère – Mais tu sais bien que les enfants sont toujours à écouter ce qu’on dit.
Le Père – Et alors ?
20 La Mère – Et alors ! Et s’il se met à le raconter autour de lui ? Tu sais pourtant ce qu’on
leur rabâche sans arrêt aux Jeunesses Hitlériennes. On les pousse carrément à tout
rapporter. C’est curieux qu’il soit sorti aussi discrètement.
Le Père – Absurde.
La Mère – Tu n’as pas vu à quel moment il est parti ?
25 Le Père – Il est resté un bon moment, le nez collé à la fenêtre.
La Mère – Je voudrais savoir ce qu’il a entendu de notre conversation.
Le Père – Mais il sait ce qu’il arrive quand on dénonce les gens.
La Mère – Et ce petit dont nous parlaient les Schmulke ? Son père doit être encore en
camp de concentration. Si seulement nous savions à quel moment il a quitté la pièce.
30 Le Père – Tout cela est parfaitement absurde !
Il court dans les autres pièces en appelant le garçon.
La Mère – Je n’arrive pas à me faire à l’idée qu’Henri ait pu s’en aller n’importe où, sans
dire un mot. Il n’est pas comme ça.
Le Père – Il est peut-être allé chez un camarade d’école ?
35 La Mère – Alors, ça ne peut être que chez les Mummermann. Je vais téléphoner.
Elle téléphone.
Le Père – À mon avis, tout cela n’est qu’une fausse alerte.
La Mère, au téléphone – Ici madame Furcke, le professeur Furcke. Bonjour Madame
Mummermann. Henri est-il chez vous ?… Non ?… Alors je ne vois pas du tout où il peut
40 être … Dites-moi, Madame Mummermann, est-ce que le local des Jeunesses
hitlériennes est ouvert le dimanche après-midi ?… Oui ?… Merci beaucoup. Je vais me
renseigner là-bas.
Elle raccroche. Tous deux sont assis et se taisent.
Le Père – Qu’est-ce qu’il a pu entendre ?
1 Réponse
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1. Réponse kamilou73
Bonjour,
7. L'inversion du sujet et du verbe, les mots interrogatifs au début des phrases : "mais où", "pourquoi", "comment"? Ce sont aussi des questions ouvertes.
c. c) «Tu l'as vu sortir ? » (Ligne 6). De quelle autre manière peut-on exprimer cette interrogation ?
Est-ce que tu l'as vu sortir ? Ou L'as-tu vu sortir ?
1. a) Le père est serein, il ne s'inquiète pas : " Pourquoi s’énerver comme ça parce que le petit est sorti?"
b) Quelle différence remarquez-vous entre la construction de cette phrase interrogative et la construction des phrases précédentes?
Cette question commence par "est-ce que"?
8. Et alors ! Et s’ils se mettent à le raconter autour d’eux?
C’est curieux qu’ils soient sortis aussi discrètement.
Le Père-Absurde.
La Mère - Tu n’as pas vu à quel moment ils sont partis ?
Le Père- Ils sont restés un bon moment, le nez collé à la fenêtre.